Hier…
Je dansais pour oublier.
Je pansais pour me soigner.
Ce soir…
Je danse pour fêter.
Je pense pour gagner.
Sans artifices, sans craintes ni jugements,
Sans sacrifices, sans plaintes et nonchalamment.
Elle est là, mon heure de gloire.
Elle est là, moi je l’entends.
Celle-là, sonne pour moi.
Elle est là, l’heure du parloir.
Elle est là, toi tu l’attends.
Celle-là, sonne pour toi.
Demain…
Tu danseras pour oublier.
Tu penseras à te soigner.
Bon baisers
L’Enfoiré.
© Marion Enin

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